• Morgane

    Morgane la Fée

    La fée Morgane est un personnage du cycle arthurien, dans lequel elle est la demi-sœur magicienne du roi Arthur.
    Chez Geoffroy de Monmouth, c’est la principale des neuf enchanteresses qui accueillent Arthur à Avalon après la bataille de Camlann ; chez Chrétien de Troyes, elle est présentée comme une sœur d’Arthur, magicienne et guérisseuse coopérant avec son frère.
    Dans le Lancelot-Graal, Morgane change de personnalité et devient une opposante à Arthur et à la Table ronde. Elle n'est plus le personnage magique qui sauve Arthur mais une figure néfaste qui emprisonne les chevaliers infidèles à leur dame dans le Val sans retour, situé à Brocéliande, (Lancelot mit fin à l’enchantement bravant les terreurs imaginaires et libera ceux qui subissaient le joug de Morgane) et qui essaie de briser l'amour de Lancelot et de la reine Guenièvre.

    C'est une figure emblématique des légendes celtes, magicienne au double visage, l'un bon, l'autre mauvais (les 2 faces de la Lune?...)
    A la fois femme et savante, fée sylvestre, nymphe des vagues, sorcière et enchanteresse, c’est l’une des figures les plus riches et attachante de la famille des fées.
    Experte des 7 arts, « grande clergesse » d’astronomie, grande savante en toute formes de magie et de médecine, connaissant les plantes, elle possède des baumes pour toutes les blessures excepté pour celles de son propre cœur.
    On la dit capable de changer de forme et d'aller d'un lieu à l'autre en volant, Morgane maîtrise l’art de la métamorphose et se transforme comme il lui plaît. Ce pouvoir la relierait, selon Jill Marie Hebert, à Morrigan.
    Pour cette maîtrise en clergie on l'appela Morgane la Fée.

    Morgane est la fille d’Ygraine (Ygerne ou Igerne en ancien français) et de Gorlois, sœur d’Elaine et de Morgause, demi-sœur, par sa mère, d’Arthur.
    Envoyée dans un couvent lorsqu’Uther Pendragon tue son père et épouse sa mère, elle reçoit une éducation complète puis est acceptée par Merlin comme élève dans les arts magiques. Elle aurait été élevée sur l’île d’Avalon  par la grande prétresse Viviane.
    Uther lui fait épouser le roi Urien de Gorre avec qui elle ne s’entend pas et dont elle a un fils, Yvain.

    Femme luxurieuse, elle tombe amoureuse, à Camelot, d'un chevalier, Guyomard, cousin de la reine Guenièvre. Celle-ci rompt leur relation et, dès lors, Morgane déteste son frère et Guenièvre. Cette haine s'accentue après que Lancelot rejette ses avances.
    Morgane, éperdument amoureuse du beau chevalier Guyomard, décide alors de se venger quand elle découvre son infidélité. Elle suit les deux amants et leur jette un sortilège attachant magiquement Guyomard et la demoiselle à quelques pas l’un de l’autre, les condamnant à se voir sans cesse sans pouvoir se rejoindre.
    Elle utilisait ses pouvoirs à des fins maléfiques et obtenait ce qu’elle voulait des hommes grâce à sa beauté.
    Dans certains contes Morgane chercher à se venger de Guenièvre, en la prenant en défaut, par exemple en portant à la cour une coupe magique qui révèle l’infidélité.

    Durant "les feux de Beltane", rite de "l'ancienne religion", Morgane sera poussée dans les bras de son demi-frère. Ce rite de fertilité dont le culte était voué à La Déesse-mère (représentée par la Lune), consistait à réunir la Déesse Mère et le Dieu Cornu par le biais de 2 jeunes gens représentant chacun la Divinité. Morgane représente alors la jeune vierge offerte au dieu Cornu qui n'est autre qu'Arthur sans qu'aucun des deux ne le sache. Ils le découvriront le lendemain matin. Le fruit de cette union sera Mordred.
    Morgane deviendra prêtresse de cette religion païenne, dont la "base" est située sur l'Île d'Avalon.

    La Fée Morgane, reine d'Avalon, l'île aux Pommes de l'autre monde, porte une branche de pommier, symbole celtique de la paix et de l'abondance. Habile sorcière, elle joue souvent un rôle obscur, s'opposant à Arthur et manipulant les héros. Plus symboliquement, elle est une déesse hivernale des ténèbres et de la mort, par opposition à Arthur, seigneur de l'Été. Elle révèle l'aspect rédempteur de son personnage lorsqu'elle se fait la reine guérisseuse d'Avalon, gardant le corps d'Arthur dans la mort.

    C’est Morgane qui aurait brodé le fourreau magique d’Excalibur qui protège Arthur de toute blessure fatale au combat. Elle cherchera par la suite à lui reprendre cet objet sacré car, en ne restant pas fidèle à l’ancienne religion, il a trahi son serment et ses origines celtes. Le fils de Morgane et Arthur devra reprendre le pouvoir (d’où leur duel mortel) pour rétablir l’ancienne religion. Le combat final les opposant se déroulera à Camlan. C’est là où le Jeune Dieu Cornu (Mordred) affrontera le Vieux Dieu Cornu (Arthur). Les deux personnages mourront après s’être entretués, et Excalibur retournera dans le lac de Viviane, portée pour la dernière fois par Merlin.
     La légende veut que Morgane ait transporté la dépouille du Roi Arthur dans l’île d’Avalon, et qu’il réapparaîtra en des temps troublés.

    Morgane

    Morgane est guérisseuse et Magicienne, fidèle au monde merveilleux d'Avalon qu'elle abandonnera un temps pour tenter de répandre ses principes dans le monde réel qui découvre le Christ et ses lois, cette nouvelle religion où la Déesse Mère est remplacée par une vierge et où tous les rites célébrants la nature et la fécondité sont écrasés et remplacés par des rites chrétiens rendant gloires à des principes masculins.
    Morgane tentera de lutter contre l'oubli que l'on veut imposer à sa culture et à la tolérance qui la caractérise. Elle cherche à protéger la Bretagne de l’influence grandissante du catholicisme, notamment de l’influence de la reine Guenièvre, de nature très pieuse. Elle voulait défendre auprès du roi Arthur les anciennes croyances, qui étaient à la base de ses pouvoirs magiques, ainsi que de ceux de Merlin, dit l’Enchanteur.

    La christianisation a diabolisé Morgane. Elle l’a christianisée en sainte Marguerite,
    Morgane a perdurée sous le nom de fée Margot et l’on trouve un peu partout en France des « Caves à Margot », des « chambres de la fée Margot », des « fuseaux de Margot », des « Roche Margot » .

     

    http://www.histoiredumonde.net/Fee-Morgane.html
    http://lunamoon.free.fr/morgane_la_fee.htm
    http://surlestracesdemerlin.over-blog.com/article-1006890.html

     

     


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  • L’Ankou

    Personnage revenant souvent dans la tradition orale et les contes bretons, l'Ankou (an Ankoù) est la personnification de la Mort en Basse-Bretagne. Il n’est pas la mort, mais l’ouvrier de la mort, son rôle est de collecter dans sa charrette grinçante les âmes des défunts récents. Remplissant ainsi un rôle de « passeur d'âmes », l'Ankou est à considérer comme une entité psychopompe.

    L'Ankou semble être un héritage de la mythologie celtique, et plus précisément du Dieu-père dont la fonction est la perpétuation des cycles vitaux, comme la naissance et la mort, les saisons ou le cycle jour/nuit. Bien qu'on lui attribue désormais la faux ou la pique, son arme canonique est le mell benniget ((br) maillet béni). Tout indique sa proximité avec le dieu gaulois Sucellos et le dieu irlandais Eochaid Ollathair, ou Dagda, qui tuent et donnent la vie avec leur arme, maillet ou massue. L'Ankou est une figure panbrittonique de cette fonction, et est appelé Anghau au Pays de Galles et Ancow en Cornouailles. Sa fonction a par la suite été réduite à la seule Mort.

    Voici comment le décrit Anatole Le Braz dans son recueil de légendes La Légende de la Mort :
    « L'Ankou est l'ouvrier de la mort (oberour ar marv). Le dernier mort de l'année, dans chaque paroisse, devient l'Ankou de cette paroisse pour l'année suivante. Quand il y a eu, dans l'année, plus de décès que d'habitude, on dit en parlant de l'Ankou en fonction: - War ma fé, eman zo un Ankou drouk. (Sur ma foi, celui-ci est un Ankou méchant.)

    On dépeint l'Ankou, tantôt sous la forme d'un squelette drapé d'un linceul, et dont la tête vire sans cesse au haut de la colonne vertébrale, ainsi qu'une girouette autour de sa tige de fer, afin qu'il puisse embrasser d'un seul coup d'œil toute la région qu'il a mission de parcourir, tantôt comme un homme très grand et maigre, les cheveux longs et blancs, des braies nouées au dessus du genoux, un large chapeau de feutre noir qui dissimule sa figure ombragée, un visage sans nez au sourire s'étirant d'une oreille à l'autre et aux yeux vides, au fond desquels des petites chandelles brulent; l'Ankou est un symbole de terreur.

    Dans l'un et l'autre cas, il tient à la main une faux. Celle-ci diffère des faux ordinaires, en ce qu'elle a le tranchant tourné en dehors. Aussi l'Ankou ne la ramène-t-il pas à lui, quand il fauche; contrairement à ce que font les faucheurs de foin et les moissonneurs de blé, il la lance en avant. »

    Le char de l'Ankou (karrik ou karriguel ann Ankou) est fait à peu près comme les charrettes dans lesquelles on transportait autrefois les morts. L'Ankou se tient debout dans son char qui est traîné d'ordinaire par deux chevaux attelés en flèche. Celui de devant est maigre, efflanqué, se tient à peine sur ses jambes. Celui du timon est gras, a le poil luisant. C'est dans cette charrette qu'il emporte les nouveaux défunts. Les essieux en sont si mal graissés que l'on peut parfois entendre, par les nuits de pleine lune, ce bruit angoissant; wig-a-wag, wig-a-wag ! Quiconque perçoit cet affreux grincement, entrevoit l'Ankou ou ressent un étrange frôlement, apprend avec effroi que son décès ou celui d'un proche est imminent. Dans certaines légendes l'Ankou tue sans faucher réellement, le simple fait de l'approcher, de l'entendre passer ou à plus forte raison d'échanger des paroles avec lui suffisent à causer la mort de la personne en question ou de l'un de ses proches.

    Il est escorté de deux compagnons, qui tous deux cheminent à pied. L'un conduit par la bride le cheval de tête. L'autre a pour fonction d'ouvrir des barrières des champs ou des cours et les portes des maisons. C'est lui aussi qui empile dans la charrette les morts que l'Ankou a fauchés.

    Lorsque l'Ankou se met en route pour sa tournée, sa charrette est, dit-on pleine de pierres, afin de rouler plus lourdement et de faire plus de bruit. Arrivé près de la maison où se trouve le moribond qu'il doit cueillir, il décharge brusquement sa charrette, pour faire place à son nouveau “lest”. De là ce fracas de pierraille que l'on entend si souvent dans les logis où l'on veille un mourant, juste à l'instant où celui-ci rend le dernier soupir."

    Le jour, il est également présent à travers les sculptures à son effigie qui ornent les ossuaires, ainsi il rappelle toujours aux hommes la fin à laquelle aucun ne peut se soustraire. Et ces mots gravés sur la pierre de nous mettre en garde " La mort, le jugement, l'enfer froid : quand l'homme y pense, il doit trembler ".

    C'est le triste sort de Fanch ar Floc'h, ce talentueux forgeron qui absorbé par son ouvrage travailla le soir de Noël jusqu'après l'heure sainte de minuit à qui l'Ankou rendit alors visite pour faire réparer sa faux. L'homme accomplit cette tâche sans se douter de l'identité de son hôte et mourut à l'aurore.

    Une légende raconte également comment un jeune homme trop curieux, ayant reconnu le célèbre grincement des essieux de la charrette de l'Ankou, décida de l'observer sans se faire voir en se cachant dans une touffe de noisetiers. Le convoi s'arrêta soudain et l'un des compagnons de l'Ankou s'approcha de la cachette afin de couper de quoi remplacer la cheville brisée de l'un des essieux. Se croyant tout d'abord perdu le jeune homme fut vite soulagé de voir l'Ankou s'éloigner sans remarquer sa présence... le lendemain on l'enterrait.

    ******************

    Le long du littoral de la Basse Bretagne, le Bag noz (le "bateau de nuit") est au monde maritime breton l'équivalent de Garrig an Ankou (le "chariot des morts") sur la terre. Paul Sébillot décrit cette croyance :

    « À l'île de Sein, l'homme de barre du Bag noz est le dernier noyé de l'année. Une femme dont le mari était disparu en mer sans que le corps ait été retrouvé, l'aperçut qui tenait la barre, un jour que le Bag noz passait tout près d'une des pointes de l'île. Ce bateau se montre lorsque quelque sinistre doit se produire dans les environs ; il apparaît sous une forme assez indécise à la tombée de la nuit ; son équipage pousse des cris à fendre l'âme ; mais sitôt qu'on veut s'en approcher, la vision disparaît. (...) Il est commandé par le premier mort de l'année »

    Les Bretons nomment la nuit de Noël « la nuit des Merveilles ». Au cours de cette nuit, durant la messe de minuit, l'Ankou a l'habitude de frôler de sa cape tous ceux qui ne passeront pas l'année.

     

     

    Sources: Wikipédia et http://legendes.korrigans.free.fr/?p=30

     


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  • La prophétie des Guerriers de l'Arc-en-ciel
    ou Rainbow Warrior

    D'une côte à l'autre de l'Amérique du Nord, on retrouve cette légende dans la plupart des nations amérindiennes.

    Le livre "Warriors of the Rainbow", écrit en 1962 par William Willoya et Vinson Brown, est une compilation de prophéties amérindiennes et autres, desquelles les auteurs tirent la conclusion qu'une nation mondiale de Paix unissant toutes les races et religions, apparaitra pour amener un monde nouveau et meilleur. Ces "Nouveaux Indiens" porteront le nom de "Guerriers de l'Arc-en-ciel".

    En voici la version des Amérindiens Crees : "Nous auront à subir l'invasion des hommes blancs, beaucoup de nos frères et de nos soeurs y laisseront la vie. Les âmes de ces premiers hommes reviendront dans des corps de couleurs différentes : rouge, blanc, jaune, brun et noir. Quand vous verrez venir des hommes aux cheveux longs, des plumes et des fleurs dans les cheveux, le visage peint, qui parleront d’amour et de nature et qui porteront un nom ressemblant au nôtre (Hopi, Hippies) alors ce sera le début. Ensemble et unis, comme les couleurs de l'arc-en-ciel, ces hommes enseigneront à tous les peuples du monde comment aimer et vénérer la Terre Mère, dont la matière même est celle qui nous compose aussi, nous autres humains.

    Prophéties des Hopis:  "Quand la Terre sera ravagée, que l'eau des rivières ne sera plus bonne à boire, quand les arbres se feront rares et que les animaux auront presque disparu, c'est alors qu'apparaitront les guerriers de l'Arc-en-ciel. Ils se lèveront pour protéger la Terre. Ils reformeront le cercle sacré de l'harmonie et enseigneront l'unité entre toutes les races et les religions véritables de l'humanité. Ils feront entendre leurs voix pour demander la fin des guerres et la Paix entre les peuples. Ils retourneront à la Nature qu'ils respecteront, pour y vivre de la Terre nourricière et s'y assembleront en tribus. Ils porteront des plumes et des colliers et laisseront leurs cheveux pousser librement, comme les anciens d'autrefois. On leur donnera un nom semblable à celui des Hopis (hippie). Le nom Hopi veut dire pacifique, mais il implique bien plus encore. Hopi signifie de vivre en harmonie avec le plan de la Création, d'une manière simple, humble et spirituelle."

    Un jour, dans le futur, les animaux commenceront à disparaître. Les gens ne verront plus de loups, plus d’ours ni d’aigles. Les arbres géants disparaîtront eux aussi. Les gens se battront les uns contre les autres et ne s’aimeront plus. Le magnifique arc-en-ciel s’effacera peu à peu, et les gens n’en verront plus jamais d’autres.

    Et puis, les enfants viendront. Et ces enfants aimeront les animaux, et ils feront revenir les animaux. Ils aimeront les arbres, et feront revenir les arbres géants. Et ces enfants aimeront et aideront les autres gens à vivre dans la paix les uns avec les autres. Ces enfants aimeront l’arc-en-ciel, et le feront réapparaître dans le ciel. C’est pour cette raison que les Indiens ont appelé ces enfants « les guerriers de l’arc-en-ciel ».

    Selon une ancienne légende des Indiens Cherokee: le jour viendra où les peuples du monde se reconnaîtront comme les membres d'une même famille. Alors ces Guerriers de l'Arc-en-Ciel se rassembleront afin de conduire pacifiquement à de grands changements qui concerneront autant les relations harmonieuses entre les peuples que les relations avec tout ce qui existe sur la Terre-Mère. Sous le symbole de l'arc-en-ciel , toutes les races et toutes les religions du monde s'uniront pour répandre la grande sagesse de la vie en harmonie les uns avec les autres et avec toutes les créatures. Ceux qui porteront cet enseignement seront appelés les guerriers de l'arc-en-ciel. Ils auront la lumière de la Connaissance dans leurs têtes et l'Amour dans leurs cœurs, et ils ne feront de mal à nul autre être vivant. Après un grand combat mené avec la seule force de la paix, ces guerriers de l'Arc-en-Ciel finiront par mettre un terme à la destruction et à la profanation de la Terre Mère. La paix et l'abondance régneront ensuite pour un âge d'or long, joyeux et paisible, ici, sur la Terre Mère.

    Ainsi juste avant qu’il ne soit trop tard, l’Indien regagnera son esprit et enseignera à l’homme blanc le respect de la Terre. C’est avec lui qu’il créera alors l’alliance des Guerriers de l’Arc-en-ciel. Les tâches de ces « Guerriers de l’Arc-en-ciel » seront nombreuses mais aussi colossales. Il leur faudra conquérir des montagnes d’ignorance terrifiantes, lorsqu’ils rencontreront le mépris et la haine. Ils devront donc se montrer dévoués, constants dans leurs efforts et garder un coeur fort. Ils trouveront des coeurs et des esprits disposés à les suivre sur cette route du retour à la « Terre mère ». C’est par leurs efforts que celle-ci retrouvera ses beautés, à nouveau déployées dans leur abondance.

    Ces guerriers communiqueront aux peuples des principes ou des règles à suivre pour accorder leurs pas avec ceux du monde. Ces principes seront ceux qu’appliquaient les tribus anciennes. Les Guerriers de l’Arc-en-ciel transmettront ces pratiques traditionnelles qui insuffleront l’unité, l’amour et la compréhension. Ils rétabliront une harmonie qui touchera les hommes situés jusqu’aux quatre coins du monde. Les hommes pourront alors retrouver la joie de vivre aussi bien dans la solitude que dans la compagnie. Ils seront libérés des petites et grandes jalousies. Tous les hommes s’aimeront comme des frères, sans distinction de race, de couleur de peau ou de religion. Un immense bonheur entrera dans leur coeur lorsqu’ils éprouveront la sensation de se confondre à la race humaine toute entière. Les fleuves redeviendront limpides, les forêts belles et abondantes, les animaux et les oiseaux, nombreux. Le pouvoir des plantes et des animaux sera à nouveau respecté, et la sauvegarde de la beauté reconnue dans tous ses aspects s’intégrera au mode de vie.

    L'Arc-en-ciel représente plusieurs concepts: La Paix après la tempête des guerres et des souffrances, ou la porte vers l'harmonie; L'Alliance de Dieu avec l'humanité à travers ses prophètes, ou le pont entre le ciel et la terre; L'Union de toutes les couleurs des races de l'humanité en un cercle de Lumière, ou l'unité dans la diversité.

    La légende des Guerriers de l'Arc-en-Ciel serait-elle en voie de réalisation ? Nous pouvons constater l’engouement croissant dans le monde pour les nations Amérindiennes, leur culture et leurs croyances, et même l’admiration qu’ils suscitent. Croire ou penser ? C'est toute la différence entre la croyance et la science. Mais qu'importe la démarche, l'important est le résultat. Croire avec ferveur qu'une légende ou une prédiction puisse devenir une réalité ou bien penser qu'il arrive qu'une légende soit auto-réalisatrice par la puissance d'un mouvement humain conscient et volontaire atteint le même but.

    Tribute of Native Americans - Honneur aux Amerindiens

     

    Source: http://dimensionfuture.free.fr/indiens.arcenciel.htm
    http://baron-eraser.over-blog.com/article-la-prophetie-de-des-guerriers-de-l-arc-en-ciel-96219189.html

     

     


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  • Le Faucon

    Le Faucon

    La faucon m'appelle, j'entends son cri là-haut dans le ciel bleu, alors je dois poster ceci.

    Manifestation du principe solaire, comme l'aigle qu'il remplace parfois dans certaines régions, le faucon annonce la victoire de la Lumière sur les ténèbres et représente pour cela un principe initiatique. Toujours solaire, ouranien, mâle et diurne, le faucon est un symbole ascensionnel sur tous les plans. Il indique une supériorité ou une victoire acquise ou en voie de l'être.

    Chez les amérindiens: le faucon est un messager du Grand Esprit. Les Premières Nations ont toujours été habiles pour reconnaître les signes que nous donne la nature. Cette capacité correspond à la médecine du faucon qui est le messager des esprits de la nature.

    Les Faucons aiment étendre leurs ailes, ils sont prédateurs toujours à l'affut d'une proie. Leur proie dans la vie c'est leur nouvelle expérience, leur nouvelle idée, les nouveaux endroits à découvrir. Les faucons sont intrépides lorsqu'ils désirent quelque chose, ils peuvent s'élever très haut dans le ciel. Leurs idéaux sont généralement aussi élevés qu'eux. Cependant, ils n'ont pas toujours la patience d'aller jusqu'au bout de leurs tâches et acceptent facilement de se laisser distraire. Toujours enthousiasmés dans le lancement de nouvelles entreprises, ils n'ont souvent pas la patience d'attendre que celles-ci portent tous leurs fruits. Une des leçons de vie du Faucon sera d'apprendre à équilibrer ses polarités d'énergie en se montrant persévérant afin de mener les choses à leur terme.

    Si le faucon vous escorte dans vos voyages intérieurs, vous irez loin et atteindrez peut-être même le royaume des ancêtres, qui portent l'ensemble du savoir dans leur âme et décident parfois de le partager avec ceux qui connaissent la façon appropriée de le demander. Quoi qu'il en soit le faucon vous encourage à suivre les diktats du coeur. Les premières Nations affirment que celui auquel cet oiseau donne ses pouvoirs par le partage de ses plumes, devient un chef et bénéficie du don de prévoir l'avenir.

    Dans la mythologie celtique, le druide Fintan se transforme en faucon. Changée en faucon Cerridwen initia le jeune Gwion qui devint le grand barde Taliésin. De même, le poète Amorgen chantait.: Je suis un faucon sur une falaise. Le faucon le plus célèbre de la mythologie celtique est celui d'Achille. Dans un dialogue étonnant énigmatique avec le poète et druide Fintan qui se transforme en faucon, il témoigne d'un savoir étendu dont l'origine se perd dans la nuit des temps, il est la mémoire du monde. Le faucon symbolise donc la mémoire ancestrale, dont le rôle revêt une importance primordiale dans la pratique chamanique.

    Dans la mythologie scandinave, plusieurs dieux prennent des formes de faucon, comme Freyja. Loki, à l’occasion, emprunte cet aspect à Freyja, pour se déguiser en faucon. Yggdrasil est également associé à cet oiseau.

    Le faucon, prince des oiseaux en Egypte de par sa beauté et sa force, symbolisait le principe céleste. Il était aussi attribut de Rê, symbole du soleil levant. Le faucon occupait une place très importante dans la religion égyptienne. Il devint le symbole d’Horus, le dieu à tête de faucon, qui, avec Isis et Osiris, formait la principale trinité ou “ sainte famille ” parmi les dieux et déesses de l’Égypte. On utilisait toujours le symbole du faucon pour écrire le titre des pharaons, qui  furent considérés comme des incarnations d’Horus. Parmi les centaines d’oiseaux momifiés trouvés en Égypte, le faucon, et surtout la crécerelle, est un des plus nombreux. Hérodote racontait que quiconque tuait un faucon en Égypte, fût-ce accidentellement, était mis à mort.

    De même, dans le Rig-Veda, le faucon est assimilé à l’astre solaire et c’est lui qui apporte le breuvage sacré, le soma, au dieu Indra.

    Chez les incas du Pérou, le faucon était emblème et symbole solaire. Tous les incas avaient un "double" représenté sous la forme d'un faucon et qu'ils appelaient Inti. Représenté mettant en pièces des lièvres, le faucon symbolise la victoire du principe mâle, diurne et solaire, sur le principe femelle, nocturne et lunaire. Le faucon est considéré comme un ancêtre mythique. Sinchi, deuxième souverain connu de l’empire inca, a pour surnom « Roca », ce qui signifie « faucon ». Pour le premier Inca, le terme « Roca/faucon » constitue même le nom principal.

    On affirme la même chose pour la dynastie hongroise des Arpads, qui font remonter leur ascendance au faucon légendaire « Turul ».

    Encapuchonné, il symbolise l'espérance en la lumière que nourrit celui qui vit dans les ténèbres. Il est l'image des prisonniers, de la lumière sous le boisseau, de la connaissance ésotérique. Avec la devise "post tenebras spero lucem", le faucon encapuchonné est l'emblème de beaucoup d'imprimeurs de la Renaissance.

     

    Sources: http://www.cleomede.com/article-17889500.html
    www.magiemetapsychique.org/t3722-faucon#ixzz1pwIwR7eK et
    http://www.enigmes.tv/tv/forum/animal-totem-le-faucon-t70.html

     


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  • Les êtres de la nature

     (Tableau de Joséphine Wall)

    Les êtres de la nature
    Ou élémentaux, qu’on appelle « le Petit Peuple » ou aussi les dévas.

    (Pardon pour le texte un peu long, mais j’ai tenté de tout regrouper.)

    Les Elémentaux forment la partie spirituelle de la nature et de tout ce qui s'y trouve et sont connus depuis les temps les plus anciens. Ils sont en quelque sorte les Esprits Gardiens de la Nature , ils veillent sur la croissance des animaux et des plantes , composent la part spirituelle de la terre, des pierres, des rivières ou du vent Ces Esprits ne sont pas totalement invisibles , ils ont un corps fait de pure énergie.  Lumineux, ils se fondent avec l'environnement naturel dont ils adoptent la forme et la couleur. Voilà pourquoi il est si difficile de les voir !!!  Mais ils peuvent s’ils le souhaitent se rendre visibles à ceux qui le méritent.

    La matière dans laquelle les Esprits peuvent se manifester s'appelle l'Éther. L'Éther est un monde dans lequel les manifestations vibrent sur une fréquence qui n'est pas, en général, visible, audible, palpable par les sens des humains. Paracelse, médecin, alchimiste et théosophe publia la première classification des esprits. C'est donc de lui que nous vient la notion des "esprits élémentaires "c'est à dire des esprits que la croyance populaire fait présider aux quatre éléments, vivant en eux et les gouvernant.

    Dans la culture occidentale, le monde est composé de quatre éléments et chacun de ces éléments est représenté par une créature, un esprit élémentaire.

    L’élément eau:  Les eaux sont le royaume des Ondins des Ondines (Nymphes ou Naïades). On parle surtout d'Ondines car, on les apparente aux sirènes, très charmantes et très attirantes avec leurs longs cheveux bleus et leurs belles robes. On dit aussi que ce sont les moins farouches des élémentaux car, elles vont beaucoup vers les humains et sont très dociles. Ils sont les gardiens des fonds des lacs, des fleuves (mais pas des mers). Si un jour vous voyez de la vapeur sur un lac ou autour d’une cascade, regardez bien, peut être verrez-vous apparaître un de ces esprits.

    L’élément  feu: Les Esprits du feu sont les salamandres. Elles incarnent le feu divin , le feu de l'illumination et de l'Éveil. Leur apparence ne ressemble à rien d'humain. On leur donne la capacité d’affronter les flammes et d’en prendre de l’énergie. Certaines armoiries ont comme symbole la salamandre, particulièrement celles du roi François premier qui en inscrivait partout dans ses châteaux.

    L’élément terre: Les Esprits de la terre sont les gnomes et les nains, appelés par les nordiques les trolls. Ils sont coquins menteurs , amoureux des femmes et gardiens des trésors. Ils sont de petite taille, hideux, massifs, doués d'une grande force, souvent mal vêtus. On dit qu’ils peuvent se transformer en géants s’ils le désirent. Ils habitent dans les entrailles de la terre, dans les grottes et cavernes. Aussi, ils sont les gardiens des métaux précieux et des pierres précieuses, de tous les trésors enfouis dans la terre.

    L’élément air: Les esprits qui appartiennent à cet élément sont les Sylphes et Sylphides. Ce sont des êtres de petite taille, gracieux et élancés et très rapides avec de petites ailes transparentes. Ils habitent dans le ciel, les vents,...etc. Ils font se lever les vents et les tempêtes. on dit aussi qu'ils s'amusent à modeler les nuages. On les confond souvent à tort avec les fées.  Pour les Celtes, ils sont dirigés par le roi Oberon.

    Les Chamanes parlent souvent avec les arbres et les Esprits des plantes, des pierres et des animaux. L'homme a perdu sa relation avec le monde magique des Fées et des Élémentaux et reste persuadé que tout n'est qu'invention.

    Si vous désirez avoir un Beau Jardin , accueillez les Fées et les Lutins chez vous . Ouvrez votre coeur et dites à haute voix : ¨ Amis Invisibles qui protégez la Nature , venez dans mon Jardin , venez , occupez-vous de mes arbres , de mes légumes et de mes fleurs . Nourrissez la Terre , je vous la confie . Merci ¨ Vous pouvez leur offrir un petit cadeau en Signe d'Amitié : Les Lutins aiment ce qui brille . Essayez une petite Étoile en papier doré dans un arbre ou posée dans un pot de fleurs . Si elle disparaît ... vous avez gagné !

    Il y a aussi dans ces être fantastiques et merveilleux:

    Les Génies
    Les génies sont des divinités intermédiaires entre les hommes et les dieux. Présents chez tous les peuples de l'antiquité, ils étaient considérés comme présidant au destinées de l'homme et intervenant dans leurs affaires et dans les affaires du monde des vivants.

    Selon certains peuples orientaux, les génies habitaient la terre bien avant les humains mais ils n'obéirent pas à Dieu et se révoltèrent contre lui. Alors, ils furent chassés et rejetés vers l'extrémité du monde. On dit aussi qu'ils étaient soumis aux ordres de personnes qui possèderaient certains talismans. Ils pouvaient changer leur apparence physique à volonté. Pour les musulmans, les génies était source de mal et de malfaisance. Ils n'étaient pas du tout appréciés et les gens en avaient une peur indescriptible. Ils disaient aussi que les génies pouvaient prendre possession de l'âme d'une personne et la manipuler comme ils le voulaient. Ce n'est que plus tard que vint la légende d'Aladin et de la lampe magique qui a été inspirée des croyances orientales. Quant aux chinois, ils considéraient les génies comme les gardiens des temples, des édifices divers, des villes et des provinces.

    Les Elfes
    Un elfe est une créature légendaire anthropomorphe dont l'apparence, le rôle et la symbolique peuvent être très diverses. À l'origine, il s'agissait d'êtres semi divins de la mythologie nordique, dont le souvenir dure toujours dans le folklore scandinave. Les elfes étaient originellement des divinités mineures de la nature et de la fertilité. On les retrouve dans la mythologie celtique. Certains sont dénommés Hüdulfolks. De nos jours les Scandinaves croient toujours aux elfes et sont capables de vous montrer les endroits où ils vivent, et même de détourner les routes afin de ne pas les déranger.

    Les Elfes dans la mythologie Nordique
    Les elfes étaient répartis en deux sortes: - Les Elfes lumineux qui, disait-on, habitaient le ciel. - les Elfes sombres qui habitaient dans les entrailles de la terre. Ces deux sortes étaient très différentes. L'une étant plus lumineuse que le soleil, l'autre plus ténébreuse que les ténèbres...

    Les Elfes dans le folklore Germanique
    Dans le folklore Germanique (Allemand), les elfes sont représentés comme de petites créatures espiègles et malfaisantes. Ils étaient estimés comme capables de causer des maladies aux personnes et aux animaux (bétail). Ainsi, on attribuait la cause des mauvais rêves et des apnées du sommeil à un elfe assis sur la tête de la personne concernée. Ici aussi, les elfes sont classés en deux sortes: -Les Elfes de lumière, assimilés aux dieux du panthéon germanique. -Les Elfes noirs, assimilés aux nains.

    Les Elfes dans la littérature Moderne
    Leur figure a été reprise plus tard dans la littérature, comme élément merveilleux du conte de fées et de la fantasy. Dans la littérature moderne, les elfes sont présentés comme des êtres toujours jeunes,  d’une grande beauté,  aux oreilles pointues, plus fins que les humains et pourvus d'une intelligence sans pareille, dotés de pouvoirs magiques et quasiment immortels. Nous devons cette vision des elfes à l'écrivain John Ronald Reuel Tolkien qui a nettement influencé la représentation des Elfes. On dit que Tolkien avait une elfe personnelle qui lui était attachée.

    Les Lutins
    Un lutin est une petit créature humanoïde pas plus grande qu'une main. Toutefois, elle peut modifier sa taille à volonté et ainsi se fondre parmi les humains ! Grâce à une sorte de chapeau : le Tarnhelm, ils ont la possibilité de disparaître, ou de se transformer en humains ou en bêtes ou même en objets inanimés.

    La plupart des lutins ont des cheveux roux et des yeux verts qui louchent. Ils sont vêtus de haillons verts et d’un grand bonnet rouge pointu, des vieilles poulaines aux pieds. En plus de sa taille réduite, le lutin est réputé pour son espièglerie, son don de métamorphose et d'invisibilité, son côté facétieux bienfaisant ou malfaisant, son obsession pour les femmes à l'origine du mot « lutiner », sa susceptibilité, et surtout son habitude de s'occuper des foyers humains, en particulier des écuries.

    Les lutins vivent surtout en France, sous diverses appellations régionales: Les Ardennes et la Wallonie connaissent un génie domestique très proche sous le nom de nuton. En Bretagne, les korrigans sont assimilés à des lutins, tandis que dans les Alpes, le nom de servan est employé. Ils sont souvent assimilés aux farfadets. Pourtant certains, attirés par les “verdoyantes féeries”, ont gagné le sud-ouest de l’Angleterre pour s’assimiler aux Pixies. On signale aussi un cousin Brag à grelots dans le Yorkshire, deux ou trois Kwelgeert et Plageert en Flandres et quelques autres en Allemagne, en Italie. Les paysans se transmettent des siècles durant les rites visant à s'attirer ses bonnes grâces, comme lui laisser du lait dont-ils raffole, ou au contraire à le chasser. Selon les pays, les noms des lutins changent, les Irlandais ont leurs brownies, les Ecossais leurs lèprechauns, etc... Mais les lutins restent typiquement Européens.

    La confusion entre le lutin, le nain des pays germaniques et l'elfe des pays scandinaves est fréquente depuis le Xe siècle en Europe de l'Ouest, le mot « lutin » étant spécifique aux langues romanes, et surtout à la France. Des centaines de petites créatures aux noms différents peuvent être désignées comme des « lutins », désormais un terme générique pour le petit peuple masculin en France. Après une période de fort recul des croyances et traditions au XXe siècle, La Grande Encyclopédie des lutins de Pierre Dubois marque les débuts d'un regain d’intérêt et d'une abondante production littéraire et artistique à leur sujet. Le lutin est désormais vu comme un personnage de la fantasy, et comme l'assistant du père Noël.

    Les Nymphes
    Dans la mythologie gréco-romaine, les nymphes  personnifient les forces de la nature. Elles sont représentées par de jeunes femmes, très belles.

    Les nymphes de la mer sont les Néréides ou Océanides, les nymphes des sources et lacs sont les Naïades, les nymphes des montagnes sont les Oréades ; enfin les nymphes des arbres sont les Dryades et les Hamadryades (pour ces dernières, leur destin est lié à celui du chêne).

    Les Néréides sont les filles de Nérée (Dieu marin). Elles portent souvent des coquillages et des algues. Elles ne sont pas comme les sirènes et elles aident les marins en péril. Les Dryades sont les filles de Zeus mais ne sont pas immortelles mais elle vivent aussi longtemps que la forêt dans laquelle elles vivent.  Elles se coiffent souvent d'une couronne de feuille de chêne. Elles sont pacifiques mais elles n'hésitent pas à utiliser leurs pouvoirs pour défendre la forêt face à bûcherons ou tout autre personne hostile; elles transforment alors un endroit magnifique en un endroit effrayant pour leur faire prendre la fuite. Les Dryades se déplacent librement au cœur de la forêt mais il n'en est pas de  même pour les Hamadryades qui sont prisonnières dans le tronc de l'arbre et qui meurent avec lui.    
    Toutes les nymphes suivent Artémis (Diane chez les romains). C'est la Déesse de la nature mais c'est aussi une chasseresse qui poursuit les animaux avec ses flèches mais elle protège leurs petits.    

     

    Sources: Wikipédia.org et  L'encyclopédie de la Fantasy par Judy Allen aux éditions Rouge et Or.
    http://felindora86.blogourt.fr/508823/Les-lutins/ - http://legendes.korrigans.free.fr/?page_id=12

     


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